Nous voulons faire plus pour valoriser notre ville en apaisant la circulation et en développant des mobilités actives, moins polluantes et bénéfiques pour la santé de tous. L’attractivité de Maisons-Laffitte en sera augmentée.
Je souhaite offrir aux Mansonniens une meilleure qualité de vie que permettra un milieu urbain partagé de manière harmonieuse entre piétons, cyclistes et automobilistes.
Voici quelques exemples des actions qui pourraient être menées pour créer un environnement urbain plus sain, plus sûr et plus agréable à vivre :
→ Adapter le centre-ville à la réalité des usages : avoir une approche concertée avec les Mansonniens tout en travaillant avec des experts concepteurs (architectes, paysagistes), des ingénieurs (bureaux d’études, voiries et réseaux) et les recommandations du CEREMA (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement) pour avoir des études techniques et des audits.
Parmi les mesures concrètes envisagées, on trouve notamment Ville 30, la transformation des contre-allées en espaces piétons avec pistes cyclables bidirectionnelles, ou la mise en place d’un schéma directeur des aménagements cyclables pour dépasser le simple « plan vélo ». Ces mesures permettraient de réduire la place de la voiture en centre-ville, d’améliorer la sécurité des usagers vulnérables et de dynamiser le commerce local.
→ Collaborer étroitement avec les partenaires du territoire (villes limitrophes, Communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine "CASGBS", département, région Ile-de-France) pour bénéficier de subventions et de conseils afin de proposer aux Mansonniens des solutions globales et intégrées qui favorisent les mobilités actives.
→ Réaliser une étude d’impact sur la circulation pour tout nouveau projet d’urbanisme. Construire des parkings ne résout pas le problème, voire l’amplifie.
→ Faire réaliser par à Ile-de-France mobilité un audit des besoins de transport pour l’intra-ville et l’interconnexion, qui prenne en compte le nombre de véhicules, les trajets, le taux de remplissage des bus, les horaires, la coordination des feux, etc. Cela permettrait, par exemple, de créer un nouveau trajet pour un bus ou une navette électrique qui desservirait la zone du marché.
D'autres villes ont mis en place des plans de mobilité qui contribuent à apaiser la circulation en réorganisant les espaces publics, en sécurisant les cheminements, et en proposant des alternatives de transport adaptées aux besoins spécifiques de leurs administrés :
▬ A Saint-Germain-en-Laye, une navette électrique seniors est proposée aux détenteurs de la Carte Royale afin de compléter l'offre de transport et faciliter l’accès aux activités des clubs seniors municipaux. Des transports à la demande sont également mis en place.
▬ A Marly-le-Roi, la place de la gare accueille un véritable parvis arboré de 2000 m², redonnant une identité au secteur de la gare de Marly-le-Roi. La création de ce parvis, accessible aux personnes à mobilité réduite, sécurise les cheminements des usagers de la gare et des commerces et crée un lien entre la gare et la ville.
▬ Au Vésinet, l’aménagement de la piste cyclable route de Croissy, à double sens de circulation sur 2,2 km, relie deux extrémités de la ville en desservant son lycée.
Dans un contexte de tension climatique certaine et de changement des modes de vie en ville, marche à pied, vélo, transports en commun, intermodalité sont des demandes en forte croissance. Cet enjeu essentiel en milieu urbain est un sujet majeur pour une nouvelle équipe municipale. Nous le prendrons à bras le corps !
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